Une fois n'est pas coutume, nous sommes allés nous perdre dans Brooklyn en famille... d'habitude c'est plutôt dans mes sorties en solo, mais c'était pour la grande fête qui entoure la floraison des cerisiers dans la culture japonaise célébrée par le festival "Sakura Matsuri" au Brooklyn Botanic Garden et comme nous étions partis un peu sur un coup de tête, nosu ne savions pas vraiment à quoi nous attendre .. et bien, premièrement beaucoup de monde...
puis beaucoup de fleurs, pas toutes roses, mais dommage que je ne puisse pas partager avec vous ces odeurs de printemps...
et puis... ce petit panneau m'a un peu mis la puce à l'oreille... des gens costumés partout partout, sur des thèmes très variés.. mais bien centrés quand même sur la culture jeux videos/mangas à quelques exceptions près
seance karaoké pour le moins dépaysante en japonais devant un parterre plutôt jeune
Final fantasy ...
j'ai même aperçu Alice dans un dédale de lilas et de glycines..
Des danses traditionnelles, par des plus ou moins jeunes...
Enfin malgré la masse d'activités proposées du jardinage à l'Ikebana en passant par des ateliers manga ou le karaoké, les stars incontestables étaient les délicates petites fleurs roses des cerisiers, sous lesquelles tout le monde se faisait prendre en photo, se bisoutait ou mitraillait sous toutes les coutures...
Comme toujours, tout est admirablement bien organisé, malgré le monde tout se passe bien dans la détente et un esprit bon enfant regne, bref hautement recommandable comme sortie... seul bémol, les glycines n'étaient pas encore en fleurs.
Bon, enfin moi, je peux pas m'empêcher de penser à ce qu'il y aura dans ces cerisiers dans 40 jours !
Très chouette, j'aime beaucoup la photo avec Alice :). Tu crois qu'il y aura vraiment des cerises? Si oui, faut venir de nuit avec un panier :D
RépondreSupprimerC'est bien sympa. J'aime le melange entre les fleurs et le monde des manga.
RépondreSupprimer@ Carnets, j'etais sure que tu allais reagir a ce post! Bon je suis pas sure que ça soit des vraies bonnes cerises noires et charnues... on peut toujours rêver!
RépondreSupprimer@ Cecy, je ne ,'y attendais pas trop et finalement ce mélange des genres était assez détonnant !
A San Francisco aussi, nous avons cette opposition, un peu les kimonos contre les mangas, de part et d'autre de post street, la grande rue du quartier japonais.( http://geneline.blogspot.com/2010/10/les-quartiers-japonais.html), avec ici aussi le "concept unificateur" des sakuras.
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