21.6.09

Il court, il court

Décidément je n'ai jamais eu autant besoin de mon appareil photo, que depuis que nous habitons ici. Un soir, profitant des rares moment de brise a peu près sèche du soir, entre deux averses, j'avais ouvert la fenêtre à côté du bureau, avec sa moustiquaire bien en place, histoire de ne pas me faire dévorer par les moustique. Entendant une sorte de bruit de frottement, de feuilles remuées, au bout de quelques minutes, un peu intriguée par ce chahut, j'allume la lampe de jardin.. et là, je tombe nez à nez avec ça: 

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Pas du tout effrayée la bestiole, elle est restée là plantée quelques minutes, remarquez avec un hallogène dans les yeux, j'aurai peut être fait pareil à sa place.. Bien dodue, pas du tout intimidée parce que son premier réflexe a été de venir vers moi, ce qui ne m'a trop rassurée d'ailleurs... beurk beurk, après recherches c'est un furet, j'ai d'ailleurs appris à cette occasion que la possession de ces bestioles était interdite à NY  la raison invoquée étant la tendance de l'animal à passer chez les voisins et à mordre. En tous cas moi.. c'est pas trop mon truc ce genre de bestioles apprivoisées, a priori elle ne devrait pas vouloir m'apprivoiser.
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derrière le panneau de basket
Je l'ai suivi par la fenêtre du haut dans le noir...  il continuait son petit marché, quelque part ça m'arrangerait bien s'il restait dans les parages, il se chargerait de chasser les souris ...

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J'ai dans l'idée que nous tenons le coupable du déchiquetage de balles rebondissantes de Timothée que nous avions laissées dehors il y a quelques temps, retrouvées en miettes.

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