A tout seigneur tout honneur - Wall of fame

Le fameux mur au coin de Houston et Bowery est une sorte d'honneur que bien peu d'artistes de street art se voient octroyer dans leur vie, en effet c'est au coeur d'un des quartiers les plus important dans l'histoire de ce mouvement, au coeur de New York que ce mur est offert au gré des saisons et des opportunités, vous avez déja pu voir ici celui de Shepard Fairey, Kenny Sharf, JR, Aiko, Crash, ... et j'en oublie probablement. C'est également une artere essentielle de la ville, lui garantissant une exposition maximale,  de jour comme de nuit; grace à son éclairage propre. 

Cette fois ci ce sont Revok et Pose, deux ainés en quelques sortes qui ont voulu retracer et rendre hommage à l'histoire de leur art dans cette ville de New York, et ce qui parait comme une cacophonie visuelle au premier regard se révele plein de petits "patchs" avec une identité singuliere vraiment réussie. Je n'ai jamais précisé que la pluspart du street art New Yorkais n'arrive a survivre que grace a des murs prétés, des commandes plus ou moins précises par des associations, galeries, particuliers.. des sortes de havres car la politique de zero tolérance fait qu'être attrapé en train de peindre quelque part vous envoie tout droit en prison, difficile sans aucun doute de garder le coté subversif initial du street art dans ces conditions mais le fait de pouvoir travailler une semaine sur un mur permet des choses d'aune autre ampleur...

The famous wall at the corner of Houston and Bowery is that kind of honor that few artists of street art are granted in their lives, indeed it is in the very heart of one of the most important areas in the history of this movement, the heart of New York that this wall is provided , you have already seen here what Shepard Fairey, Kenny Sharf, JR, Aiko, Crash,    did... and I probably left some out. It is also a vital artery of the city, guaranteeing maximum exposure, day or night, thanks to its own lighting.

This time it is Revok & Pose, two seniors in some ways, who wanted to track and pay tribute to the history of their art in this city of New York, and what appears as a visual cacophony at first glance reveals small "patches" with a singular identity really. I never said that the greater part of the New York's street art happens to survive thanks to the commissioned walls, commissioned works by associations, galleries, privates, mecenes .. kinds of havens when you know that the "zero tolerance policy" makes being caught trying to paint somewhere enough to send you straight to jail, no doubt it's difficult to keep the original subversive side of the street art in these conditions, but the ability to work one week on a wall allows things of a different scale ...